L'Oiseau et l'Enfant (Marie Myriam)
Comme un enfant aux yeux de lumière
Qui voit passer au loin les oiseaux,
Comme l'oiseau bleu survolant la Terre,
Vois comme le monde, le monde est beau
Qui voit passer au loin les oiseaux,
Comme l'oiseau bleu survolant la Terre,
Vois comme le monde, le monde est beau
Beau le bateau dansant sur les vagues,
Ivre de vie, d'amour et de vent ;
Belle la chanson naissante des vagues,
Abandonnée au sable blanc
Ivre de vie, d'amour et de vent ;
Belle la chanson naissante des vagues,
Abandonnée au sable blanc
Blanc l'innocent, le sang du poète,
Qui en chantant invente l'amour,
Pour que la vie s'habille de fête
Et que la nuit se change en jour
Qui en chantant invente l'amour,
Pour que la vie s'habille de fête
Et que la nuit se change en jour
Jour d'une vie où l'aube se lève
Pour éveiller la ville aux yeux lourds,
Où les matins effeuillent les rêves
Pour nous donner un mond' d'amour.
Pour éveiller la ville aux yeux lourds,
Où les matins effeuillent les rêves
Pour nous donner un mond' d'amour.
L'amour c'est toi, l'amour c'est moi.
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi.
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi.
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi.
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi.
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi.
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi.